Présentation Minanu

Voici mon histoire (attention elle est longue )...

Minanu, ou la naissance d'une muse

L’on ne sait pas grand-chose sur les parents de Minanu, à part que son père Nu-pié était artiste. En effet il jouait dans le Sacri-Band, groupe de musique spécialisé dans le style P’s’M (parole sans musique, style inventé pas Napa Didez, la grand-mère maternelle de NapaDel, privilégiant les paroles par rapport à la musique) et sa mère Miné Ralle harpiste au B.P.O ( Bontarian’s Philarmonic Orcherstra).

À sa naissance, Minanu reçu comme don la musicalité de sa mère et le savoir de chanter de son père. Graçe à ces talents extraordinaires, Minanu se fit vite remarquer et commença à écrire des concertos, des sonates et plein d’autre composition dont certaines très connues.

À l’age de 16 ans la renommée de Minanu parvint même jusqu’aux oreilles de sa Déesse Sacrieuse. Celle si, demanda au maître Guy San Nolan de lui commander un requiem. Ce qu’elle effectua en moins d’un mois, ce qui perturba la déesse car elle n’avait jamais vu un requiem écrit si vite, elle s’empressa de la faire jouer au B.P.O et sa chorale.

Elle ne pus retenir sa joie lorsque les applaudissements retentir sur la place de Bonta. On raconte même que tout les combats, d’Astrub à Brakmar en passant par Moon et l’île Wabbit cessèrent lorsque les musiciens jouèrent la première note et ne reprirent que lorsque le dernier accord ce tut.

La déesse décida de faire devenir Minanu sa compositrice personnelle et elle devin ainsi la première muse de la musique. Quelque année plus tard alors qu’elle se donnait à sa 2ème passion, la pêche, elle rencontra l’homme qui allai changer sa vie.

Une gigantesque armée Bontarienne s’était arrêtée dans le village voisin, lorsque Minanu voulu vider son poisson elle remarqua que la plupart de ses hommes semblaient tristes. Elle posa son sceau de poisson, prit sa harpe et commença à chanter la chanson à la joie, tous les hommes, sans exception se levèrent et se mirent à chanter et à danser sur la place du village. Suite à cela Pradian, grand prêtre et dirigeant de l’armée vint la voir et l’invita à la taverne.

Pradian : Je vous remercie ma fille d’avoir redonné de la joie au soldat.

Minanu : Pourquoi étaient t’ils si triste ? La vie est belle pourtant…

Pradian : La guerre fait rage, à l’est comme a l’ouest l’ennemi est là et il nous faut les pourfandre… Nous aurions beaucoup besoin de jeune fille comme toi dans notre armée…

Minanu : La guerre ce n’est pas ma tasse de thé… Moi c’est la musique…

Pradian : Nos buts sont les mêmes… Nous voulons rendre le monde meilleur, seule notre manière de l’obtenir est différente…

C’est alors qu’un soldat arriva à toutes jambes.

Soldat : maître ! Les ennemis marche sur le village de Sufokia !

Pradian : Quoi ?! Mais Sufokia est neutre… Ils ne peuvent pas !

Minanu : Non ! Mes parents habitent Sufokia ! Je dois y aller …

Lorsque Minanu en pleur voulu quitter la taverne Pradian l’empêcha de passer.

Pradian : Arrête Minanu ! Sufokia est trop loin d’ici pour que tu puisses faire quelque chose ! Ne part pas seul, nous viendrons avec toi pour défendre Sufokia …

Minanu tomba à genoux et, dans les bras de Pradian, pleura en le suppliant de sauver ces parents.

Lorsque l’armée arriva à Sufokia l’ennemi n’était pas encore entré dans la ville, les habitants avaient eu la bonne idée de détruire le pont principal. Deux heures plus tard l’ennemi était battu, malheureusement le père de Minanu et bien d’autre de ces amis avaient péri sur le champ de bataille. C’est à partir de ce jour que notre sacrieuse prêta allégeance aux Anges du Crépuscule, et pratiqua le culte d'Elün à leurs côtés, comme l'une des leurs.